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15 mars 2009 7 15 /03 /mars /2009 10:26

Vénézuéla,

 

« Repùblica Bolivariana de Venezuela » est le nom officiel du Vénézuéla depuis la constitution de 1999, lorsque le pays fut renommé en l' honneur de Simon Bolivar. Connue pour sa biodiversité et sa beauté naturelle, Christophe Colomb, en août 1498 la nomma « Isla de Gracia » car il prit la terre sur laquelle il débarqua pour une île. Cette expression est d' ailleurs devenue le surnom du pays : « Tierra de Gracia ».

       Une réserve de la biosphère de 83 000 km2 a été créée dans le pays, sous l'égide de l'ONU, dans l'état d' Amazonas pour protéger ses forêts et plateaux et les tribus amérindiennes souvent victimes de l'exploitation minière, forestière ou agricole, voire du tourisme. Si le pétrole fait la richesse du Vénézuéla, c'est d'abord et avant tout sa géographie qui est son véritable trésor. Plaines, plateaux, hauts sommets et plages de sable blanc offrent des paysages exceptionnels. Le territoire Vénézuélien s'étend depuis l'équateur jusqu'au nord du onzième parallèle. Il possède également soixante douze îles, dispersées dans la mer des Caraïbes et dans l' Océan Atlantique, regroupées dans les dépendances fédérales. On peut distinguer trois grandes régions : la côte des Andes au nord et à l'ouest, les plaines au centre et le massif guyanais au sud-est. La pointe septentrionale de la cordillère des Andes culmine à 5007m au Pic Bolivar. Le sud du bassin de l'Orénoque, avec son affluent Caroni, est sauvage et souvent touristique. On y trouve des hauts lieux comme « El Salto del Angel près de 1000m de hauteur, reconnues comme les plus hautes chutes d'eau au monde.

L'une des belles régions du Vénézuela, est conformée par les Llanos, des savanes étendues qui se perdent dans l'horizon, où la végétation et la faunes si diverses, sont d'une beauté semblerait-il émouvante et unique. L'immense territoire possède une variété d'écosystèmes qui permet d'apprécier une pluralité de paysages et d'émotions qui feraient du « Llano » une expérience très émouvante pour les amants de la nature...On peut apprécier dans cette région deux grandes saisons qui établissent une différence remarquable dans la vie de la savane : la saison des pluies et la saison sèche. Ces changements tellement brusques transforment la savane en deux époques totalement différentes mais également attractives, où le changement de saisons d'une région présente deux paysages totalement différents. Les conditions naturelles de la région déterminent un changement de la faune sauvage, entre les mammifères : les lamantins, thonines (dauphins), chiguïres, cerfs, pécaris, bàquiros,guépards, renards,chats sauvages et diverses espèces de singes. Les reptiles les plus abondants sont les crocodiles, les caïmans,et les anacondas. Les espèces de serpents sont nombreuses dans tout le pays. Certains dangereux, d'autres inoffensifs...On y trouve des serpents à sonnette, des vipères de 2,50m, des pythons, des couleuvres, environ près de 140 espèces de serpents. Le Vénézuéla est un pays les plus riches au monde concernant ces espèces!

La population vénézuélienne est très jeune car 31% a moins de quinze ans, alors que seuls 5% des habitants ont plus de soixante-cinq ans. Les deux tiers de la population sont métissés. Les Blancs représentent 21% et les Noirs 10%. Les Indiens ne représentent que 2% de la population et pourtant ils méritent que l'on s'attache de plus près : les Indiens d'Amérique totalisaient pas moins de SOIXANTE DIX MILLIONS DE PERSONNES lorsque les « conquistadores »firent leur apparition, un siècle et demi plus tard, ils n'étaient plus que trois millions et demi...De nos jours les peuples indigènes du Vénézuela sont à la conquête de leurs droits. L'Organisation Régionale des Peuples Indiens Amazonas, ORPIA, est chargée de la promotion des 19 éthnies. Cette organisation a commencé par la démarcation des terres. La reconnaissance des droits des peuples originaires du Vénézuéla aura très vite des impacts politiques majeurs. Tout d'abord au niveau de la participation des indiens à la vie nationale. Pour la première fois dans l'histoire du pays,trois représentants indigènes sont élus lors des élections législatives de l'an 2OOO comme député-e-s de l'Assemblée Nationale, huit autres dans le conseil législatif des états à population indienne. Une Commission Permanene des Peuples Indigènes est également créée à l'Assemblée Nationale.

Mais les plus grands défis concernent la mise en pratique de la reconnaissance des droits de ce peuple. Non seulement une grande insécurité juridique se maintient dans de nombreuses régions en raison de failles et de retards du processus de démarcation de leurs territoires, mais surtout de nombreuses communautés sont toujours la proie de projets publics et privés ayant des impacts sur leur intégrité tant environnementale qu'économique, sociale et culturelle.

L'activité minière illégale continue ainsi que ses dommages (état de Bolivar et de Amazonas, en particulier) mais elle n'est pas la seule. A l'exploitation des hydrocarbures du Delta de l'Orénoque, s'ajoute en effet une exploitation intensive du charbon dans l'état de Zubia où vivent certaines des plus grandes communautés indiennes du pays. l'état Vénézuélien lui-même n'est pas exempt de contradictions : dans ce dernier cas, l'entreprise publique Carbozulia partage les mêmes torts que les multinationales opérant dans la région, telles que Vale do Rio Doce (Brésil), Anglo Américain (Afrique du Sud-Grande Bretagne), Shell (Hollande-Grande Bretagne), Ruhrkohle (Allemagne) et Chevron-Texaco (Etats Unis).Les revendications sont justifiées et multiples, les attentes immenses. Toute leur vie, les indigènes ont été dominés par des personnes qui n'étaient pas de leur race. Cette époque est révolue et ils se battront jusqu'au bout pour défendre leurs droits.

 Yvon Armonie

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15 mars 2009 7 15 /03 /mars /2009 10:26

            Caraïbes

 

            Iles coralliennes, aux plages de sable blanc, protégées des vagues du large par d'immenses barrières où poissons et coraux mêlent leurs reflets multicolores entre ciel et mer. Et pour parfaire cette diversité, la même houle océane vient battre l'ensemble de ces rivages et laisser à ce panorama idyllique l'uniformité ethnique et linguistique de la population d'origine.

            C'est en séjournant,sillonnant ces rivages, pénétrant ces criques que l'on s'émerveille chaque jour découvrant des montagnes couvertes d'épaisses frondaisons, des cascades alternant leurs ballets d'eau et de feu issus des mêmes entrailles volcaniques.Chaque plage nous charme par son exotisme et romantisme; Eden fragmenté de poussière de coquillages, aux sables d'or, parfois volcaniques, scintillants sous le soleil des Caraïbes.                      Après un long séjour en Guadeloupe, Martinique, Carriacou et Grenade, à peine débarqués aux Testigos, Vénézuela; les autorités à Tamarindo ainsi que la communauté des pêcheurs de los Testigos Pequeños nous réservent un accueil chaleureux où nous nous intégrons naturellement.Les rapports d'amitié ne sont pas faussés par un quelconque intérêt économique, mais par une spontanéité dans leurs offres de services et générosité sans limites.Tout ce qui nous est donné de vivre aux Testigos nous remplit le coeur, mais on ne peut s'empêcher d'avoir de forts moments de nostalgie en pensant aux enfants, famille et amis.

            Afin de prendre part au dur labeur journalier des pêcheurs, Yvon s'absente en leur compagnie avant l'aurore et le crépuscule dans le but de poser et relever des palangres et filets.Leur materiel rudimentaire et leur courage sont de rigueur, pas même un compas sur leur peñero spartiate, ni éclairage, feux de navigations,brassières de sauvetage...     

            Nous voici à Margarita et pensant déjà découvrir d'autres îles comme Blanquilla, los Roques...Au Vénézuela, chaque île paraît vous tendre les bras. La première s'offre, que déjà on en aperçoit une autre, toujours plus tentante car encore inconnue...A peine arrivés au Vénézuela, nous songeons découvrir le Costa Rica, Cuba, Mexique...Et puisque nous sommes si près...Pourquoi ne pas aller à la Cordillera de los Andes...

                       

                                                                                                  Yvon et Armonie

 

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15 mars 2009 7 15 /03 /mars /2009 10:26

GUADELOUPE

            
J'ai entendu le chant des
  sirènes en Guadeloupe ou était ce la mélopée des lamentins qui peuplaient jadis cette ìle de magnificence. Seul l'amour parviendra à me garder à bord afin de poursuivre notre Odyssée... L'éloignement des etres aimés et des montagnes du Pays Basque si bien chantées par Benito Lerxundi que j'écoute toujours le coeur sérré, me font rever... Une partie de moi réside à Salamanca auprès de ma fille, Armonie,une autre demeure à proximité de Bayonne,Briscous, Bidard, Urrugne et Nantes.Cependant cette épopée nous permet de nous découvrir dans les bons et mauvais moments et nous rapprocher davantage Yvon et moi, tout en explorant d'autres lieux à travers la navigation.Quand vient le soir et la scène du jour s'estompe et prend fin pour donner place à un rideau d'étoiles où la lune trone et nous éclaire tel un guide, le sommeil disparait pour accueillir la magie, la beauté et l'émerveillement de la nuité et des quarts de nuit où l'on prend conscience de notre taille infime dans l'univers...Dans ces moments les souvenirs affluent, les émotions défilent aussi vite que les étoiles filantes...

Heureux qui, comme Ulysse... Yvon, n'entend lui, que l'appel de la mer, la terre l'indiffère s'il n'y a pas de vue sur la mer. C'est un authentique marin avec lequel je me sens en sécurité et ressens une profonde admiration de son calme,sa sérénité meme dans des moments extemes,  de son professionnalisme.

Guadeloupe...Découverte  le 4 novembre 1493 par Christophe Colomb et baptisée du nom d'un monastère espanol, Santa Maria de Guadalupe, sera colonisée en 1635 par les Français.Moins bien administrée que la Martinique, elle fut occupée par les Anglais en 1759.La Guadeloupe fut rendue à la France lors du Traité de Paris en 1763.Reprise en 1794, elle fut immédiatement libérée par le Commissaire de la République, Victor Hugues.Celui ci, pour imposer les décrets de la Révolution et de l'abolition de l'esclavage, organisa la terreur contre les planteurs et les aristocrates.

En 1802, Bonaparte rétablit l 'esclavage, qui ne sera définitivement aboli qu'en 1848.Certains planteurs éxilés, revinrent dans l'ile, mais plus jamais la classe des créoles guadeloupéens ne retrouvera sa puissance.Cela devait conditionner, par la suite, la répartition des terres, une grande partie des exploitations agricoles étant rachetées puis regroupées par de grandes sociétés métropolitaines. L'économie de la Guadeloupe, département français depuis 1946, est étroitement liée à la Métropole, en particulier par le développement des administrations publiques et la masse salariale qu'elles apportent. La départementisation présente, comme en Martinique, des avantages économiques mais ne résout pas tous les problèmes.L'agriculture, bananes, canne à sucre, proportionnellement en régression, reste néanmoins importante mais à la merci du marché international et des subventions.Le tourisme, est depuis, devenu la première activité économique de l'ile.La population est composée essentiellement de Guadeloupéens de race noire ou de métis, de plus de 20 000 Indiens, immigrés au XIXe siècle, de Blancs Pays, décimés à l'époque de Victor Hugues, mais renforcés depuis, par des éléments Békés,Martiniquais.Ils sont encore 3 000 environ de fonctionnaires et particuliers métropolitains, de commerçants syro libanais.

La Guadeloupe, véritable émeraude de végétation est constituée  de deux iles séparées entre elles par un mince bras de mer.Les frondaisons et cascades de ses massifs invitent aux découvertes pédestres, les plages et les lagons incitent à courtiser les vagues de l'océan.Supreme offrande pour les navigateurs, il suffit de quelques bords pour prolonger le voyage jusqu'aux joyaux de l'archipel...

La vie nous offre le privilège de faire des rencontres uniques.C'est un cadeau dont la valeur est au delà de toute estimation..Il ne tient qu'à nous, par la suite de savoir alimenter cette relation afin qu'elle se renforce à travers le temps, se transformant en amitié, qui est un véritable lien du coeur.Comment expliquer l'inexplicable, comment traduire ces émotions, cette découverte extraordinaire, cette réciprocité...

Dans cette ile de beauté résident deux etres d'exception, qui me sont très chers, Yem et Lydie,symbole du couple parfait, animés par l'amour, la générosité et le respect.

Nous avons eu le plaisir d'y retrouver Jean Bernard, adorable et charmant cousin d''Yvon,Serge et Prissana,Jean Paul et Christiane,attachants couples. Nous avons rencontré dans les derniers jours avant notre départ deux couples qui nous sont déjà chers, Max et Nadia, ainsi que François et Sylvie. Sans oublier Lia, une femme adorable, laquelle j'affectionne tout comme Sylvie et Nadia.

                   Quant à vous, famille et amis qui résidez en France ou en Espagne, nous vous portons dans notre coeur et pensons souvent à vous, bien des fois le coeur sérré, meme sans écouter pour autant Benito Lertxundi...

UN GRAND MERCI A LA VIE...        GRACIAS A LA VIDA POR DARME TANTO...

                                                                                                        

                                                                           Yvon et Armonie


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15 mars 2009 7 15 /03 /mars /2009 10:25

            Les coraux disparaissent!

 

            On ne peut malheureusement que constater lors de nos plongées que les récifs coralliens sont en grande partie morts ou malades...Le corail est un être vivant, constitué de polypes évoluant dans un squelette calcaire.Une branche de corail pousse en moyenne de

1mm à 20mm par an.Cet animal microscopique vit généralement en colonies composées de milliers d'individus et peut prendre des formes surprenantes, dures, souples ou gélatineuses. Carnivore, le corail se nourrit de zooplancton grâce à ses filaments urticants.Le corps du polype est une sorte de sac dont l'orifice central, la bouche, est couronnée de tentacules. Les filaments demeurent à l'intereur du corps jusqu'au moment où il les propulse vers sa proie. Les tentacules ramènent alors le zooplancton vers le polype où il sera digèré.Il existe près d'un millier d'espèces de coraux dans les eaux littorales tropicales, aux formes et aux couleurs les plus variées.Les récifs coralliens sont les trésors d'un patrimoine mondial, l'un des écosystèmes les plus productifs, leur premier caractère étant leur extraordinaire biodiversité.Les récifs constituent des zones de nutrition privilégiées, des zones d'habitat, de reproduction et de nurserie pour l'ensemble de la faune aquatique.Ces récifs jouent également un rôle fondamental dans la protection des côtes, faisant effet de brise-lâmes.Ils limitent ainsi l'érosion du littoral et offrent des zones d'abri protégeant efficacement de la houle du large.Les coraux sont en danger pour des raisons de pression anthropiques et parfois naturelles.La houle provoquée par les cyclones dont la fréquence s'est accélérée ces dernières années, casse les sédiments. La présence d'une maladie surnommée "bande noire" est un autre facteur de disparition, c'est un mélange de bactéries et d'algues, qui vient se déposer sur le corail en le détruisant progressivement. On constate ces dernières années de mi-septembre à fin octobre, que la température de l'eau monte jusqu'à 30 ou 31 degrés, on voit alors les coraux blanchirent, réagissant ainsi à un stress causé par le réchauffement des eaux, l'hypersédimentation et la pollution.Les micro algues qui colonisent le corail et l'aident à survivre ne supportent pas cet état de stress et abandonnent les tissus du corail, qui devient blanc après leur disparition.

            Les récifs coralliens des Caraïbes ont surtout à subir les pressions anthropiques telles que les rejets polluants, la déforestation et la surexploitation de certaines espèces marines.Les phénomènes de blanchissement viennent s'additionner aux effets de pollution chronique.Si ces dernières ne sont pas maîtrisées, la disparition des récifs coralliens dans les eaux de la Caraïbe pourrait intervenir d'ici 30 ans.Ces récifs morts n'auront plus de résistance et vont donc se briser.La houle passera alors sans problème la barrière pour venir jusque sur les côtes, les plages,ou dans les ports de pêche, activité qui subira aussi les contrecoups de cette absence. Car les poissons ont besoin de ces récifs pour se nourrir mais surtout pour y dormir et se reproduire.

            Des actions sont mises en place notamment dans l'instruction des dossiers d'urbanisme et d'aménagement à proximité des récifs coralliens ; de nouvelles aires marines

protégées sont créées, des études sur la contamination des écosystèmes marins par les métaux lourds, les pesticides sont menées, des actions régulières de nettoyage des fonds marins.

            Mais...Chacun d'entre nous doit prendre conscience de l'intérêt de protéger les récifs coralliens...

            La plongée nous permet de découvrir un monde subaquatique merveilleux, malgré les phénomènes cités ci-dessus, mon apnée est loin d'être aussi performante que celle d'Yvon, mais découvrir les fonds marins sans l'appréhension liée á la plongée en bouteille, fait partie de nos plaisirs depuis que nous naviguons dans les Caraïbes.Le bonheur d'approcher les requins dormeurs, de taquiner les murènes, comme sait le faire Yvon, ou suivre les poissons et découvrir les cachettes des langoustes sont des plaisirs agréables qui nous font prendre conscience de la sensation de liberté que nous offre le grand bleu en plongeant, nageant,  naviguant ou tout simplement en rêvant...

Armonie
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15 mars 2009 7 15 /03 /mars /2009 10:24

Salut et un petit bonjour du Bresil.... depuis une marina privee d un hotel cinq etoiles....de mer. a Fortaleza. La traversee depuis Cabo verde aura duree 13 jours et demi, sachant que nous avons eu 6 jours de petole, ce qui nous a permis de dormir le soir du 31 decembre en laissant le bateau deriver a sa guise.Dommage  d avoir du annuler les escales du rocher saint-paul ou les bonites nous attendaient ainsi que Noronha ,quoique cette ile soit devenue une arnaque ecologiste, ou les plaisanciers de passage y laissent leur culote

une centaine d euros quotitien pour etre autorise a mouiller sur sa propre pioche, bref sans les escrocs nageurs nocturnes de Praia qui nous ont vole l annexe avec le 8cv johnson et le plein d essence, nous aurions fait parti de ces privilegies.Une petite escapade de trois jours dans les dunes et les longues plages entre Fortaleza et Natal en buggy (vehicule ecolo aidant au develloppement des plantes qui retiennent le sable....)De retour a bord, les mails sont surtout diriges vers les fournisseurs de pieces detachees; l Italie pour le groupe electrogene Lombardini, la Suede pour les pignons de la barre a roue sans oublier les commandes d inverseur moteur (nous avons termine un accostage a Caiscais a la rame, car tout s etait bloque en arriere toute...chaud derriere.les USA pour le regulateur d allure Monitor, la Bretagne pour NKE qui nous a impose un timonier 24 h sur 24 etc...

du coup le temps de tout recuperer, nous allons faire des modifs d amenagements histoire de ranger la bouffe et le PQ (ça va de paire).et de passer le carnaval a Fortaleza.Apres vers le 10/02 au mieux route vers Belem puis St Laurent du Maroni. Bref pas le temps de s ennuyer, l eau de mer atteint les 30 degres, et le frigo marche bien merci: pour les etourdis, je rappelle la procedure gratuite d envoi de SMS: sur google par exemple il suffit de taper:http//messaging.iridium.com

se  laisser guider et rentrer le numero de tel : 881  631 611 484

par contre en mer nous ne pouvons repondre que sur un portable.

bisous a tous et a bientot

Yvon et Armonie

 

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14 mars 2009 6 14 /03 /mars /2009 22:33

 

                             Je ne pensais pas que la vie sur un bateau pouvait être aussi agréable malgré un espace restreint et dans un milieu rarement immobile .La vie à bord est si différente de la vie à terre ! On apprend à relativiser le temps et les problèmes en prenant du recul. La mer offre une révélation, un changement, une vision différente de la vie en général . Cela devient un mode de vie ou tout se réduit à l’essentiel, chaque acte de la vie retrouve sa valeur, toute son authenticité .Au fil des jours, il y a cette découverte étonnante et toujours renouvelée des rencontres ainsi que des lieux, des différences comme des ressemblances .Il y a toujours des échanges enrichissants et des liens d’amitié qui naissent .Il est toujours étonnant de se laisser surprendre par la beauté des couleurs du ciel et de la mer, par la curiosité du comportement des dauphins, des oiseaux… Je découvre un monde étonnant ou j’ai beaucoup à apprendre, mais également un homme surprenant qui se révèle être stupéfiant chaque jour nouveau.                                                                                                                  Yvon et Armonie
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